LA BALEINE ET LE CAMP NATURISTE
TEXTE, MISE EN SCÈNE ET INTERPRÉTATION PHILIPPE CAUBÈRE
MONSIEUR LE CRS, IL Y A MON MARI QUI PÈLE !
Ferdinand et Clémence se rencontrent chez Ariane. Coup de foudre au Théâtre du Soleil. Mais très vite le jeune homme tente de convaincre sa complice que son infidélité peut leur être bénéfique. Première trahison sexuelle. À son tour, elle le persuade de passer quelque temps au camp de Montalivet, paradis naturiste aux origines obscures, avec séances de gymnastique, apéros chez les voisins ou cours de planche à voile.
Prix Plaisir de la SACD, Molière du meilleur comédien et Prix du théâtre de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre, Philippe
Caubère refait le monde et réécrit l’histoire. Fauve, seul en scène, clown protéiforme au corps surexpressif, tragédien d’une force comique inouïe, il exulte et exalte les grandeurs et les misères de l’amour fou.
Sa prouesse émerveille. Qu’un acteur porte tant de mémoire, de mots, d’insolence, de rire, d’indignations et d’idéal est un prodigieux acte de foi. Dans le théâtre, dans le monde. FABIENNE PASCAUD — TÉLÉRAMA
Comment, seul en scène, Caubère réussit-il ce miracle, nous faire voir, mieux que si on y était, la foule des nudistes aux attributs brinquebalants, et leurs ridicules ? On en pleure de rire. JEAN-LUC PORQUET — LE CANARD ENCHAÎNÉ
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Paris,
France